dimanche 17 octobre 2010

vendredi 15 oct 10 en après midi sur la commune d'Ortaffa





















L' équipe des Grands :
Elle travaille dans son propre village.Ce qui est à la fois un avantage: connaissance du terrain et à la fois un désavantage: c'est aussi sujet à de nombreuses distractions. C'est aussi la 1ere fois que le chien doit sur un terrain ouvert trouver lui-même la piste empruntée par la victime.Et si ce n'est pas chose facile, le chien de plus ne semble pas au travail.Les nerfs du conducteur sont mis à rude épreuve.Puis le chien semble retrouver le début d'une effluve. IL se dirige vers un champs.AU vu du croquis on comprend que ce champs jouxte le lieu où se trouve la victime.Mais le chien ne se tourne pas clairement dans la bonne direction et n'insiste pas vraiment. LA victime, elle, nous entend.C'est dire la proximité tout de même. PUis le couple ressort et réemprunte les rues du village.Une nouvelle fois dans un cul de sac herbeux le chien insiste sur l'effluve mais n'a pas de passage possible. Le couple est relevé. Aucun objet, aucune victime mais des odeurs plus ou moins marquées.Il faut plus de rigueur à ce chien pour que les objets lui servent de trace odorante. POur cela il faudra revoir une méthode de départ.






































Le 2e chien fait son parcours, non pas avec son conducteur habituel, mais avec son maître.La vivacité est à réorienter en complicité.Il ne faut pas briser cette énergie mais la cannaliser. Le chien est déjà sur l'odeur avant tout commandement de recherche.Alors on laisse faire. 2 objets et la victime.Sans faute. L'éducation ne doit pas être mise de côté mais mise à profit grâce à chaque expérience de parcours. Le chien est rapide et avide de travail et de découvertes.Ca tombe bien le maître aussi. Attention jamais au détriment de la sécurité ni de l'un ni de l'autre.


































L'équipe des délicats progresse. Cette fois-ci moins de peur après l'olfaction de l'objet de référence.Mais l'arrivée sur la victimeest source d'inquiétude: siège, chapeau, lunettes, barbe : autant d'aspects inquiétants. Nous attendrons un contact pour transformer l'expérience en apprentissage. Perdre du temps pour en gagner par micro-prorès, c'est finalement avancer d'abord à son rythme puis à pas de géant. A chacun son échelle-temps.




































L'équipe des expérimentés est elle aussi dans son propre village. Mais l'équipe est affaiblie par un chien sortant d'opération. On notera dès le 1er objet que si le flair est bien là, les connexions au cerveau sont absentes. La sortie et la remise au travail ont quand même fait du bien au moral du chien que nous avons laissé délibéremment être gagnant sur la découverte de la victime venue quasiment à lui.

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